SAMEDI 14 NOVEMBRE

Tandis que la France, sous le choc, compte ses victimes, le groupe Etat islamique (Daech, selon l’acronyme arabe) revendique les attentats de Paris et Saint-Denis. Par mesure de sécurité, les autorités conseillent aux Franciliens de rester chez eux. Les rues de la capitale sont quasi désertes (photo : AFP).

Durant toute la journée, des parents, femmes, maris ou amis font le tour des hôpitaux à la recherche de leurs proches présents au Bataclan ou ailleurs et qui n’ont plus donné signe de vie. Ils lancent aussi des appels à témoins sur les réseaux sociaux. D'autres se rendent à l'institut médico-légal pour l'identification des corps (photo : AFP). 

L’enquête avance. Trois arrestations ont lieu à Bruxelles, en lien avec un des véhicules immatriculés en Belgique retrouvé à Paris aux abords du Bataclan (ici lors d’un raid mené dans la commune de Molenbeek). L’un des sept kamikazes morts est par ailleurs identifié : il s’agit d’un Français, Omar Ismaïl Mostefaï, délinquant de droit commun  ayant fait l’objet d’une fiche S en 2010 pour radicalisation (photo : AFP).

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