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DIMANCHE 15 NOVEMBRE


Sept personnes de l’entourage du premier kamikaze identifié sont placées en garde à vue, tandis que la police belge procède à quatre arrestations de suspects. Deux autres kamikazes sont identifiés à leur tour : Bilal Hafdi, auteur de l’un des attentats suicide près du Stade de France, et Brahim Abdeslam, qui s’est fait exploser boulevard Voltaire. Il apparaît que les deux frères de ce dernier pourraient aussi être impliqués dans ces attaques : Mohamed est placé en garde à vue en Belgique (il sera ensuite libéré), Salah, lui, fait l’objet d’un mandat d’arrêt international (photo : Sipa).

Dans la matinée, François Hollande, en quête d’unité nationale, reçoit un à un les responsables politiques. Mais Nicolas Sarkozy marque sa différence avec son successeur à l’Elysée. Le président des Républicains réclame ainsi des « inflexions majeures » dans la politique de sécurité et propose de mettre un bracelet électronique aux 11.500 personnes fichées pour radicalisation (photo : AFP).

En ce dimanche, les Parisiens réinvestissent peu à peu les rues de la capitale. Des autels avec fleurs, bougies et petits mots s’improvisent sur les lieux des attentats, tandis que les habitants, émus, viennent s’y recueillir (photo : Sipa).

La sécurité est renforcée, 3.000 militaires supplémentaires devant être déployés avant le mardi dans toute la France, pour porter leur nombre à 10.000. L’exécutif annonce aussi qu’il maintient, en dépit du contexte, la tenue de la COP21, la conférence de Paris sur le climat programmée à partir du 30 novembre, et qui doit accueillir près de 120 chefs d’Etat (photo : AFP).

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